De mars à juin 2018 les étudiants de l’école d’architecture ont travaillé sur le patrimoine industriel de la vallée de la Dore. Leur travail a été présenté à la Maison du Parc sous la forme d’une exposition. Il est aujourd’hui également consultable en ligne.
En 2018 le Parc naturel régional Livradois-Forez a engagé un partenariat avec l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont-Ferrand afin de travailler sur le patrimoine industriel de la vallée de la Dore. Ainsi, de mars à juin 2018, soixante étudiants de 3ème année sont intervenus de Courpière à Dore-L’église afin de réaliser un atlas patrimonial de la vallée de la Dore et interroger les pistes de mutations architecturales économiques de ce territoire.
Ce travail a été présenté dans l’exposition « Vallée de la Dore : mutation d’une campagne industrielle », visible à la Maison du Parc Livradois-Forez du 22 juin au 10 août 2018.
Pour ceux qui n’ont pas pu la visiter ou pour en savoir plus sur les différents projets et le travail produit par les étudiants, les synthèses des travaux réalisés pour chacun des sites d’étude sont désormais en ligne et consultables sur le site internet du Parc :
Bonne lecture.
Hélas ce ne sont que des travaux d’étudiants et ceux concernant Olliergues sont soit irréalisable techniquement ( beaucoup trop compliqués et donc chers comme Grioux Gare), soit ils remettent en cause des prorpiétés privées sans avoir la moindre idée de ce que les priopriétaires diraient, soit ils sont dangereux comme une promenade au pied de Villadère à Olliergues dans une zone inondable. Le projet après le viaduc est aussi dangereux car ampiétant sur la zone de crue de la rivière il présente un danger pour le viaduc lui-même. Ce n’est pas ma conception de l’enseignement de quoi que ce soit. On ne fait pas rêver les étudiants. On leur demande d’être réalistes et de voir les contingences et les obligations réelles du terrain. La sécurité est un critère fondamental qui a fait échouer le projet romantique de Fournet Fayard sur les terrases d’Olliergues: les ouvrir au public aurait été condamné par n’importe quelle commission de sécurité compétente. 20 ans dans les commissions de la DRAC m’ont permis d’accumuler pas mal d’expérience sur les NON des services de sécurité.
Bravo pour cette exposition…qui demande toutefois une bonne dose d’attention pour être comprise.
J’en ai fait un post sur mon blog en essayant de montrer les espoirs et les doutes que suscitent l’avenir des campagnes en mutation. vous pouvez le lire ici :
https://www.lesmotsjustes.org/single-post/2018/09/01/Toutes-les-campagnes-ne-meurent-pas-